Delaporte, arrivé en 1913 à Casablanca, signe avec les frères Perret les magasins Paris-Maroc devenus les Galeries marocaines, démolis dans les années 1970. Il est aussi l’auteur de l’hôtel Excelsior et des petites villas de la rue du Parc,…
Pierre Bousquet, présent à Casablanca dès 1914, y exerce jusqu’en 1952. Il est l’auteur de nombreux équipements d’importance comme le Lycée Lyautey, l’Hôpital civil, l’Institut Pasteur, sobres et fonctionnalistes. Sur le boulevard Mohammed V, le…
Cet immeuble a été longtemps seul à dominer la place du haut de ses onze étages. Il préfigurait en effet les immeubles de grande hauteur, prévus dès les années trente, à l’entrée du quartier dit "des Affaires" mais dont l’un des grands axes,…
Cet immeuble de 16 étages présente un spectaculaire jeu de balcons filants, traités en rubans ondoyants qui semblent flotter sans interruption devant la façade en retrait, sans pour autant cacher la structure des poutres en porte-à-faux qui les…
En 1935, Jabin (voir Moretti-Milone) et Hinnen introduisent sur l’ex place de France, une écriture qui va participer du visage moderne de la ville, sans références aux styles Néo-classique, Néo-mauresque ou Art-déco des constructions du centre.…
Contrairement à l’immeuble mitoyen parfaitement art-déco signé ces mêmes frères Suraqui (voir Immeuble Tabet), celui-ci affiche sa différence, dans un style fonctionnaliste, proche de l’architecture de l’Europe de l'Est.
A l’angle du boulevard de Paris et de la rue A. Sahraoui, l’immeuble Tabet ferme une séquence entamée au carrefour de l’avenue Moulay Hassan I, offrant une série d’immeubles Art Déco signés Jabin, Cadet et Brion ou Aldo Manassi.
Casablanca, ville nouvelle et cité des affaires, est aussi pour ses habitants le théâtre de nouveaux modes de vie où le sport et la vie au grand air sont encouragés par des équipements ambitieux.
La piscine municipale, construite dans les années…